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Gérard de Nerval
06.12.2013, 21:35
(1808-1855), Les Filles du feu (1854)

Résumés des nouvelles « Angélique », « Sylvie » et « Octavie »

Angélique

Angélique est une longue divagation fantaisiste dans laquelle le narrateur déambule de Francfort à Paris et de Compiègne à Soissons à la recherche d’un livre introuvable : l’Histoire de l’abbé de Bucquoy. Ce dernier lutta contre le pouvoir personnel de Louis XIV. L’histoire d’Angélique de Longueval est en fait l’une des nombreuses digressions qui composent cette nouvelle.

1re lettre — Francfort, 1851. Le narrateur feuillette de vieux ouvrages sur des étalages, dans la rue. L’un d’entre eux évoque l’histoire du « sieur abbé comte de Bucquoy ». Il renonce à l’acheter et se rend à la Bibliothèque nationale de Paris. Malheureusement, ses recherches sont infructueuses et le conservateur est absent. Le narrateur émet quelques réflexions sur le personnel de la bibliothèque et sur les lecteurs. Il s’excuse : « Pardonnez-moi ces digressions […] ».
2e lettre — Les recherches fastidieuses sur l’abbé demeurent infructueuses. Le narrateur évoque, avec un paléographe, les noms de famille et les particules.
3e lettre — Le narrateur se rend à la bibliothèque Mazarine, discute avec le conservateur. Ce dernier prétend savoir où se trouve le livre mais demande quelques jours de patience. Puis le narrateur interroge des libraires, en vain. Cependant, l’un d’entre eux annonce que le fameux livre sera en vente dans la bibliothèque d’un amateur.
4e lettre — Le narrateur se rend aux archives et découvre que le nom patronymique des Bucquoy est « Longueval ». Dans les dossiers de cette famille, le narrateur trouve un manuscrit qui raconte l’histoire d’Angélique de Longueval : elle est la fille de l’un des plus grands seigneurs de Picardie et a connu des amours malheureuses.
5e lettre — On en apprend un peu plus sur l’histoire d’Angélique : elle a connu un « La Corbinière », fils de charcutier. Le père d’Angélique, comte de Haraucourt, menaça le prétendant « au milieu de la forêt de Compiègne ». Le narrateur suspend brusquement son récit : « Interruption » et poursuit avec de nombreuses digressions (livres, arrestation par des gendarmes, paysages, etc.).
6e lettre — Le narrateur évoque de beaux paysages qui portent « à la rêverie ». Il remarque, à Senlis, un groupe de petites filles qui chantent et qui lui rappellent son enfance. Il revient ensuite soudainement à l’histoire d’Angélique : elle aime La Corbinière et passent tous deux une nuit ensemble… On apprend ensuite qu’il est malade et est envoyé à Orbaix par le comte, qu’il fait parvenir une lettre à Angélique et qu’elle lui répond.
7e lettre — Le narrateur demande la permission de digresser. Il se rappelle à nouveau son enfance, et se souvient notamment d’une jeune fille qui ne voulait pas « changer d’amour ». On apprend que La Corbinière est de retour à Verneuil : il a un différend avec le comte, lequel finit par le chasser. Angélique est prête à le suivre. Après bien des péripéties, les deux amoureux fuient après avoir volé un peu d’argenterie (pour les vendre plus tard), voyagent et envisagent de se marier. Le mariage a bien lieu et ils ont un enfant.
8e lettre — Après quelques digressions, le narrateur fait l’éloge du comte Longueval de Bucquoy et revient à Angélique : La Corbinière se rend à Inspruck pour y chercher fortune et laisse sa femme à Venise. Finalement, Angélique le rejoint. La Corbinière et Angélique migrent vers la ville de Fisch car ils sont impliqués dans la guerre. La Corbinière tombe à nouveau malade et se rend avec sa femme en Italie : là, il commence à vivre dans la débauche.
9e lettre — Le manuscrit trouvé aux Archives nationales « s’arrête là ». Fort heureusement, des détails sont annexés au dossier : les deux époux ont été taverniers, Angélique a eu une vie malheureuse et est retournée chez sa mère. Or une demoiselle s’est fait passer pour elle chez ses parents… Les parents meurent. La Corbinière finit par rejoindre Angélique en France, et meurt en regrettant son attitude à l’égard d’Angélique.
10e lettre — Digression sur le prénom « Sylvain », prénom de l’ami du narrateur avec qui il envisage de retourner sur les traces d’Angélique aux environs de Soissons.    Le narrateur espère toujours pouvoir acheter le livre sur l’abbé. Évocation des ruines, de promenades, d’Ermenonville, dela tombe de Rousseau  de Senlis, de la verdure. Le narrateur apprend que la vente du livre n’aura lieu que le 30.
11e lettre — Le narrateur fait quelques visites (château d’Ermenonville, etc.) et fait des digressions sur des personnages historiques,sur Rousseau.
12e lettre — Retour à l’histoire de l’abbé ; le narrateur discute avec M. Toulouse, bibliophile : « un bibliophile sérieux ne communique pas ses livres. Lui-même ne les lit pas, de crainte de les fatiguer. » La vente du livre sur l’Histoire de l’abbé de Bucquoy a enfin lieu, le narrateur est en mesure « de continuer [son] travail ». Le narrateur achève ici son récit : « et j’ai retrouvé l’abbé de Bucquoy », « je viens de fouler les ruines [du château de cette famille] ».

Sylvie

Sylvie est la nouvelle la plus connue de Nerval et a été publiée en 1853 dans la Revue des Deux Mondes. Le sous-titre de la nouvelle est « Souvenirs du Valois ».

I — Nuit perdue. Le narrateur est amoureux d’une actrice qu’il va voir jouer tous les soirs au théâtre. Il passe le reste de ses soirées en compagnie d’un cercle d’amis joyeux. Un soir, il apprend que l’actrice en question fréquente l’un de ses amis.
II — Adrienne. De retour chez lui, le narrateur se rappelle sa jeunesse dans la campagne du Valois. Il revoit alors les rondes qu’il faisait avec les jeunes filles. L’une des filles, jolie brune, Sylvie, lui plaisait beaucoup. Pourtant, un jour, il finit par embrasser Adrienne, une jolie blonde. Lorsqu’il revient vers les autres jeunes filles, Sylvie pleure et refuse qu’il la console. Peu après, le narrateur s’installe à Paris pour étudier. Il conserve le souvenir d’Adrienne, laquelle devient plus tard religieuse.
III — Révolution. Le narrateur comprend que l’actrice dont il s’est épris est en quelque sorte une « réincarnation » d’Adrienne, qui lui a échappé. Il se demande même, dans un accès de délire, s’il ne s’agit pas d’une seule et même personne ; le souvenir de Sylvie le replace dans le réel et il décide de se rendre à la « fête de l’arc » où l’on danse toute la nuit.
IV — Un voyage à Cythère. En traversant un petit cours d’eau, le narrateur serappelle L’Embarquement pour Cythère de Watteau.  Il se retrouve assis auprès de Sylvie, laquelle le boude toujours car il n’est pas venu la voir depuis longtemps. Le narrateur ceint alors le front de Sylvie d’une couronne et tous deux se réconcilient. Il se rend compte aussi que Sylvie est devenue très belle.
V — Le village. Le narrateur raccompagne Sylvie et son frère à Loisy. En revenant vers Montagny, il s’égare vers la forêt d’Ermenonville. À l’aube, il découvre un couvent tout proche. Adrienne y vit-elle ? Il va revoir Sylvie, qui lui propose de rendre visite à sa vieille grand-tante à Othys.
VI — Othys. « C’est mon amoureux ! », c’est ainsi que le narrateur est présenté à la grand-tante. Cette dernière les régale de mets savoureux. Sylvie dérobe la clef d’un tiroir toujours fermé. Les deux amoureux montent dans la chambre, trouvent dans le tiroir des souvenirs de jeunesse de la tante ainsi que sa robe de mariée. Les deux jeunes revêtent les habits de mariés, ce qui crée une grande émotion chez la tante lorsqu’ils redescendent à la cuisine. La tante raconte alors la fête de ses noces et chante avec eux. Avec cette ambiance, le narrateur a presque l’impression d’épouser Sylvie.
VII — Châalis. On revient à l’action du chapitre III. Le narrateur est conduit vers Loisy. À la vue d’une ancienne abbaye de Châalis, le narrateur se souvient d’un moment qu’il a vécu avec le frère de Sylvie : on représentait un « mystère » à contenu religieux et allégorique. L’une des actrices est Adrienne, il l’a reconnue à son visage et à la beauté de son chant, mais son souvenir demeure très flou. Retour au récit de la « Nuit perdue ».
VIII — Le bal de Loisy. À l’aube, le narrateur arrive au bal. Il raccompagne Sylvie chez elle. Sur le chemin, il la trouve changée : elle semble avoir perdu sa naïveté, sa fraîcheur. Le temps des amourettes de jeunesse est terminé : le narrateur est vexé.
IX — Ermenonville. Le narrateur se rend à Montagny, dans la maison de son défunt oncle : évocation de divers souvenirs et tristesse des lieux. Il va à Ermenonville : là, il revoit les lieux des promenades qu’il faisait avec son oncle. Tout lui semble alors abandonné : il est nostalgique des bals de jadis et de Sylvie.
X — Le grand frisé. Arrivé à Loisy, il retrouvé Sylvie. La chambre est meublée de manière moderne, le passé a disparu. Ils partent en promenade et se souviennent de leur enfance. Lui trouve sa vie actuelle terne et Sylvie a beaucoup changé…
XI — Retour. Ils arrivent près de l’abbaye de Châalis. Là, le narrateur se souvient d’Adrienne et pense à Aurélie, l’actrice du théâtre de Paris.
XII — Le père Dodu. Ils arrivent à Loisy. Lui n’a pas eu le temps de lui déclarer son amour. Il y a un vieux bûcheron, le père Dodu, qui a connu Rousseau. Le lendemain, le narrateur voit « le grand frisé » qui est devenu pâtissier. Il est question qu’il épouse Sylvie. De nouveau profondément vexé, le narrateur part pour Paris.
XIII — Aurélie. Le soir même, le narrateur est au théâtre. Il fait porter un bouquet de fleurs à Aurélie. Il part pour l’Allemagne, repense à Sylvie qui lui a échappé par sa faute. Peu après, il compose une pièce de théâtre sur un peintre italien qui s’est consumé d’un amour impossible pour une religieuse, ce qui n’est pas sans rapport, bien sûr, avec les propres préoccupations du narrateur. Aurélie accepte le rôle principal de la pièce, accepte l’amour du narrateur, mais ce dernier apprend que c’est parce que l’ancien amant d’Aurélie s’est engagé dans l’armée… L’été suivant, le narrateur l’emmène à l’endroit même où il a vu Adrienne la première fois : là, il lui raconte tout. Elle en conclut qu’il ne l’aime pas et qu’il cherche à travers elle le reflet de la religieuse perdue.
XIV — Dernier feuillet. Nous sommes dans le présent du narrateur, au moment où il raconte son histoire. Totalement désenchanté, il a perdu Sylvie et Adrienne. On apprend que le « grand frisé » a épousé Sylvie et qu’ils ont eu ensemble deux enfants. Ultime retour en arrière, au moment où Aurélie a délaissé le narrateur. Il a  emmené Sylvie voir la pièce, et lui fait remarquer qu’Aurélie ressemble à Adrienne. Sylvie rit, et lui répond  qu’Adrienne est « morte au couvent » vers 1832.
Chansons et légendes du Valois. Le narrateur se souvient du Valois. Il réfléchit aux niveaux de langue et à la poésie. Évocation des chansons populaires et des contes.

Octavie

Le narrateur se dit attiré par l’Italie. Il s’arrête d’abord à Marseille. Tous les jours, il rencontre une jeune fille anglaise, Octavie, à la mer. Le narrateur part pour l’Italie. Un soir, alors qu’il est au théâtre, il aperçoit Octavie. Le lendemain matin, ils se parlent. Elle lui donne rendez-vous au « Portici ». Le soir, il va voir un ballet et il est invité à prendre le thé. Plus tard, il fait la rencontre d’une femme qui devient un amour contrarié, la rencontre se produit comme dans un « rêve ». Il en parle dans une lettre qu’il a adressée « à celle dont [il] avai[t] cru fuir l’amour fatal en [s’]éloignant de Paris. » Il se rend à son rendez-vous. Visite de Pompéi. Se rappelant son amour contrarié, il finit par renoncer à Octavie. Dix ans plus tard, le narrateur revient à Naples, revoit Octavie : celle-ci est mariée avec un peintre célèbre qui est totalement paralysé. « La pauvre fille [Octavie] avait dévoué son existence à vivre tristement entre son époux et son père [qui est aussi paralysé] ». Vivement vexé, le narrateur repart à Marseille…

Категория: Топики_ Доклады _Сочинеия_Рефераты на Французском | Добавил: alexlat
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